Le jeu en classe de FLE

Entretien avec Haydée Silva, Docteur en littérature et civilisation françaises, professeur en didactique du FLE à l’Universidad Nacional Autónoma de México, et spécialiste du jeu en tant qu’outil pédagogique pour l’enseignement/apprentissage des langues.

Vos articles et travaux universitaires portent sur le jeu. Comment définiriez-vous en quelques lignes le « jeu » et quelle place occupe-t-il en tant qu’outil pédagogique, notamment en classe de FLE ?

Vous savez, personnellement, je suis réticente face à toute tentative de définition du jeu. En effet, on ne peut parler d’une définition mais plutôtdes définitions du jeu, parfois tout à fait contradictoires. En effet, l’une des idées-clés pour approcher le jeu en tant qu’outil, en didactique des langues ou dans d’autres disciplines, c’est la conception du jeu comme une métaphore inscrite dans un réseau très complexe d’analogies. Le jeu est avant tout un fait de langage et un fait de signification, soumis aux variations historiques, culturelles, disciplinaires…

Sans entrer dans des discussions érudites, je dirais donc qu’il importe moins de donner une définition générale de la notion de jeu que de comprendre pourquoi on s’intéresse à cette notion. Les aspects mis en exergue ne sont pas les mêmes en mathématiques qu’en pédagogie, en philosophie ou en anthropologie qu’en théorie littéraire… Même au sein d’un même domaine disciplinaire, les niveaux de référence sémantique changent, et on peut être étonné de voir comment ce qui fait la valeur du jeu pour les uns le discrédite totalement aux yeux des autres.

En tant qu’outil pédagogique pour l’enseignement/apprentissage des langues, le jeu a une longue tradition. Les éducateurs de la Renaissance l’utilisaient déjà pour apprendre le latin aux enfants… Cependant, il a rarement fait l’objet d’une problématisation, et son utilisation reste le plus souvent empirique. Il suffit de consulter la plupart des ouvrages consacrés au jeu en tant qu’outil pédagogique pour la classe de FLE pour constater qu’il s’agit dans la plupart des cas de recueils d’activités sans un étayage théorique très poussé. Le grand classique sur le jeu et le FLE, Jeu, langage et créativité, c’est un ouvrage paru il y a bientôt trente ans, au moment où le jeu commençait à peine à pouvoir s’afficher sans honte sur la scène pédagogique ! Certes, on y trouve de précieux éléments de réflexion, mais ils exigent d’être revus à la lumière des changements intervenus dans notre champ disciplinaire au cours des dernières décennies.

Les enseignants peuvent donc puiser dans les anthologies de jeux de très nombreuses idées mais sans avoir suffisamment d’éléments pour personnaliser leur pratique. Je compare toujours cela aux livres de cuisine : les recettes ont l’air parfaitement appétissantes, mais il y a beaucoup de savoir-faire sous-entendus et il suffit qu’un ingrédient manque pour que le cuisinier non averti ne sache plus comment procéder. De plus, les goûts culinaires changent selon les époques, les cultures, le profil des commensaux ou même le moment de la journée…

Aujourd’hui, il me semble que ce qui est le plus valorisé dans le jeu, c’est la capacité qui lui est attribuée à promouvoir une attitude particulière face à la tâche proposée, une attitude ambivalente faite à la fois de distance et d’implication. Cela rend les apprenants capables de s’adonner entièrement à l’activité d’apprentissage, avec intérêt et enthousiasme, tout en gardant l’esprit léger face aux échecs de parcours.

À un moment où le rôle de l’enseignant devient de plus en plus complexe face aux exigences croissantes de notre métier, il me semble essentiel de former les professeurs de langues à une utilisation consciente du jeu, car les activités ludiques sont à même de lui permettre de personnaliser davantage sa pratique et d’élargir significativement sa boîte à outils ou son « sac à malices ». À condition qu’elles cessent d’être de simples passe-temps pour s’intégrer pleinement, avec des objectifs clairs et cohérents, à la séquence pédagogique…

Vous avez animé de nombreuses formations sur le jeu dans le cadre du stage BELC, telles que l’initiation à l’utilisation pédagogique du jeu, l’analyse et la création des jeux pour la classe de FLE, et la construction d’un apprentissage autour du jeu. Quels sont en général les intérêts et besoins des stagiaires et quels sont les apports de ces formations pour les enseignants ?

Depuis 1998, date où j’ai eu la chance de pouvoir m’intégrer à l’équipe de formateurs du BELC, j’ai pu constater un intérêt croissant envers les modules axés sur le jeu, les techniques d’animation, la créativité… Je crois que cela répond à une professionnalisation croissante du métier, car de plus en plus d’enseignants ont une formation universitaire axée sur le FLE. Or, la plupart des formations, pourtant excellentes, continuent de laisser de côté l’aspect pratique de l’enseignement.

Les jeunes professeurs, mais aussi leurs collègues plus chevronnés, sont à la recherche d’idées qui leur permettent de dépasser le « prêt-à-enseigner » et de répondre ainsi à des demandes très variées de la part de publics très variés. Ils sont également attirés par une réflexion conjuguant théorie et pratique car, comme je l’ai déjà signalé, ce ne sont pas les recueils d’activités qui manquent, mais plutôt les ouvrages permettant de mieux comprendre le fonctionnement des activités ludiques et leur adaptation à des objectifs précis, dans le cadre de contextes d’enseignement extrêmement diversifiés.

Au moment où l’approche communicative commence à sembler dépassée, alors même qu’elle n’a pas été véritablement mise en place dans beaucoup de contextes, le jeu me semble apporter une perspective intéressante. Sa souplesse lui permet de s’adapter à une conception « actionnelle » et d’intégrer des concepts tout à fait dans l’air du temps (interculturel, médiation, pédagogie de projet, tâches et stratégies, et j’en passe). Tout cela sans renoncer aux postulats fondamentaux de l’approche communicative : centration sur l’apprenant, prise en compte de ses besoins et ses intérêts, autonomisation, enseignement axé sur le sens, authenticité, dédramatisation et exploitation de l’erreur, progression en spirale, et cetera.

Comment introduire cet outil, encore peu utilisé en classe de langue, dans un contexte pédagogique ?

Le jeu est bien plus largement utilisé qu’on ne le pense… mais toujours de manière quelque peu marginale. J’aimerais vous donner une réponse très détaillée, mais jamais je n’épuiserais tous les aspects de la question. Je me contenterai donc de signaler celles qui me semblent être quelques-unes des « règles d’or  » de l’utilisation pédagogique du jeu en classe de FLE.

a. Le jeu offre un moyen d’élargir sa panoplie pédagogique mais ne sera jamais une panacée. Somme toute, il s’agit d’une ressource pédagogique parmi d’autres, qui reste soumise aux mêmes déterminations que les autres. Il convient de ne pas l’idéaliser ni la diaboliser, mais de tâcher de mieux la comprendre pour mieux l’exploiter. Par conséquent…

b. Il importe moins d’appeler « jeu » une quelconque activité que de définir des objectifs clairs et cohérents pour cette activité. Très souvent, on trouve sous l’étiquette « jeu » des activités décevantes, tandis que d’autres activités non officiellement ludiques induisent une attitude qui se rapproche tout à fait de l’attitude de jeu dont j’ai déjà parlé. Plutôt que d’annoncer au groupe « aujourd’hui, on joue ! » pour proposer ensuite une séquence mortellement ennuyeuse ou inadaptée, il vaut mieux préparer avec soin et rigueur sa séquence, en réfléchissant à ce qui permettra d’encourager l’attitude ludique. Si on y parvient, si les apprenants y voient un jeu et y prennent plaisir, tant mieux !

c. Ce qui compte avant tout, c’est l’attitude ludique, mais le matériel, les règles, le contexte doivent y contribuer. Comment favoriser cette attitude, cette conviction intime du joueur face à ses propres actes, qui lui permet de s’engager corps et âme tout en gardant son détachement ? Un matériel attirant, solide, robuste et bien conçu ; des règles claires, intéressantes et dynamiques ; une atmosphère détendue ne garantissent rien, mais ils contribuent largement à favoriser l’attitude voulue.

d. Quand on joue en classe, on ne joue pas à jouer, on joue. Parmi les nombreuses catégories dégagées par les spécialistes du jeu, il y a les jeux de faire-semblant. Or, quand on joue à faire-semblant, on joue quand même ! Autrement dit, les jeux proposés doivent rester des jeux et non des ruses pédagogiques. Je pense ici aux professeurs tellement soucieux des dérapages qu’ils interrompent une activité de jeu dès qu’ils en perdent le contrôle absolu. Un jeu pédagogique bien préparé ménage une place à l’imprévu. Il ne faut pas angoisser à l’idée de ne pas avoir tout prévu : le cadre ludique est très contraignant et offre un potentiel d’autorégulation étonnant.

e. Les apprenants doivent être des jouants, non des joués ni, pire encore, des jouets. Certains professeurs sont tellement attirés par les jeux qu’ils les introduisent en classe sans se demander si les apprenants en seront les sujets ou les objets. L’enseignant peut choisir de se tenir à l’écart pendant le jeu ou de jouer aux côtés des apprenants, mais jamais il ne devrait permettre que le jeu mette en danger la stabilité psychique des membres de sa classe. Je pense ici à certains dérapages dans l’utilisation des jeux de rôles, glissant dans le domaine de la psychothérapie entre les mains d’un animateur non formé. L’univers ludique inclut aussi des jeux cruels ou humiliants qu’il faut éviter à tout prix. L’enseignant doit donc veiller à ne pas abuser de son pouvoir pour faire des apprenants ses joujoux personnels.

Bref, si le jeu peut être bienfaisant et séduisant, il ne faut jamais, au grand jamais, obliger un apprenant à participer à un jeu auquel il ne souhaite pas s’intégrer. Il est toujours possible de proposer des alternatives, soit au sein du jeu lui-même (observateur, coanimateur, arbitre, gestionnaire du matériel…), soit par des activités parallèles ayant le même objectif pédagogique.

Cette liste reste sans doute à compléter. J’attends avec impatience 2006, où je compte prendre une année sabbatique pour me consacrer à fond à la recherche et écrire enfin le livre que j’aurais toujours voulu lire sur le jeu en classe de FLE et que je n’ai pas encore trouvé…

Existe-t-il de nombreuses ressources en ligne sur le jeu et la pédagogie du jeu ?

Oui. Mais comme toujours, si Internet offre une mine de ressources, il est indispensable d’avoir une idée de ce que l’on cherche avant de plonger dans un univers tellement riche que l’on risque de s’y égarer. L’enseignant déjà familiarisé avec le jeu saura faire le tri, mais l’offre de beaucoup de sites est décevante, car il ne suffit pas de mettre le jeu à la sauce des nouvelles technologies pour résoudre le problème de l’empirisme dominant.

Personnellement, j’utilise peu les ressources en ligne sur le jeu, car ma pratique au BELC m’a prouvé que malgré l’illusion du progrès il y a encore beaucoup d’enseignants dans le monde qui ont des problèmes pour se procurer au jour le jour un magnétoscope, voire une magnétophone, alors un ordinateur… Je préfère les jeux avec un matériel simple et polyvalent, faciles à fabriquer ou à faire fabriquer par les apprenants. Ou encore les jeux qui n’exigent aucun matériel spécifique. Mais je compte sur l’équipe de franc-parler pour me faire découvrir de nouvelles ressources électroniques !

J’ai d’ailleurs encouragé mes étudiants à entreprendre des recherches sur les ressources disponibles en ligne, et j’attends d’avoir davantage de temps pour me pencher moi-même sur l’offre existante sur le réseau. Après tout, je viens de mettre moi-même en ligne une page web ; ce n’est qu’un début, mais puisque j’ai prévu une rubrique « Hyperliens », il faut bien que je pense à l’alimenter, puis à la mettre à jour périodiquement. Je recevrai avec plaisir toute suggestion dans ce sens.

Quels conseils donneriez-vous aux enseignants qui souhaiteraient connaître et maîtriser le jeu pédagogique et l’utiliser dans leurs cours ?

J’insisterais sur le besoin de faire un usage raisonné d’un outil complexe mais fascinant. Il ne faut pas en avoir peur, pas plus qu’il ne faut le prendre comme un objet définitivement construit. La diversité des outils ludiques est telle qu’il y en a forcément quelques-uns qui s’adaptent à chaque contexte d’enseignement spécifique, alors il ne faut pas hésiter à tester différents jeux. Si l’appétit vient en mangeant, l’aisance dans l’utilisation pédagogique du jeu vient en jouant ; il suffit de ne pas appliquer aveuglément les recettes trouvées dans les livres mais de faire une analyse prépédagogique permettant de dégager ce qui nous intéresse dans tel ou tel jeu et comment faire varier les paramètres.

On peut commencer par des jeux courts et simples pour s’attaquer ensuite à des jeux plus sophistiqués. Il est également utile de repérer quels sont les types de jeux que l’on préfère, ceux où l’on se sent tout à fait à l’aise pendant l’animation et où notre enthousiasme pourra être contagieux, mais sans oublier que les apprenants peuvent avoir des préférences très différentes ; il est toujours utile de combiner des jeux qu’on aime et on connaît bien à des jeux nouveaux. J’en profite pour souligner que le jeu n’est nullement réservé aux enfants : il marche merveilleusement bien avec des adultes, pour aborder tous les sujets, même les plus « sérieux ». Des années d’enseignement ludique en fac me permettent de l’affirmer avec conviction.

Je conseillerais aussi aux enseignants de ne pas négliger les bienfaits de l’échange avec des collègues : trop souvent, chaque enseignant reste dans son coin, trop débordé par le quotidien, sans avoir l’occasion de discuter avec ses pairs. Paradoxalement, la mise en commun des outils et de la réflexion sur ces outils favorise leur personnalisation.

Le jeu pédagogique peut, bien entendu, devenir un superbe leurre : certains pensent qu’il faut l’appliquer en classe tout simplement pour être dans l’air du temps. Mais il n’en est pas moins vrai que le ludique, par le fait même de sa mobilité, de sa marginalité et de sa transversalité disciplinaire, offre à tout enseignant la possibilité de prendre en main sa pratique, de l’interroger, de l’enrichir, de la transformer. Et d’atteindre plus facilement son vrai but qui, comme on le sait aujourd’hui, n’est nullement celui d’enseigner, mais de mieux contribuer à l’apprentissage. Pour y parvenir, il n’y aura jamais de recette qui vaille, fort heureusement.

Liens :

Le jeu en classe de langue d’Haydée Silva

Rédaction : Emeline Giguet

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